Notre ennemi est redoutable mais ses armes sont bien pires, je pense sérieusement que nos armes de pointe ne font pas le poids devant la MP40 puissantes de l'ennemi.
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C'était le grand discours hier soir autour du feu de camp, beaucoup d'hommes du régiment pensent que nos armes sont de qualité bien minime en face de l'arme destructrice des Allemands qui s'appellent la MP40 ou Maschinenpistole 40!
Nos armes s'enrayent régulièrement et les tires sont de mauvaise qualité quand la cible et à plus de cinquante mètres, d'après des bruits de tranchée, un soldat Allemand pourrait nous toucher à deux cente mètres et dévers pas moins de cinq cents balles à la minute.
Avec Marius nous nous demandons si notre armée nous envoie par a une mort certaine contre un ennemi invincible, qui pourrait nous sortir de cette occupation éminente ? Nous perdons espoir ici dans les tranchées, la mentale commence à ne plus suivre...
Cher journal nous avons l'impression de combattre avec une fleur au fusil, je me demande même parfois si nous ne serions pas plus en sécurité si nous étions prisonniers des Allemands, c'est peut-être moins douloureux de mourir de faim ou sous la torture que de se prendre une balle dans le cœur.
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J'aimerais tellement avoir dix ans de plus ou de moins pour ne pas à avoir connu cette guerre qui fait couler beaucoup trop de sang avec ces armes destructrices, avec Marius sommé de corvées pour récupérer les armes des Allemands tombé au combat sous nos armes, nous allons démonter une mp40 pour voir si nous pouvons adapter leurs techniques sur nos propres armes.
Cela ne va pas être simple, notre Allemand est très limité et notre dernier "mécanicien d'armes" nous a quitté la semaine dernière, sacré Marcel, il travaillait bien...Mon cher journal, le devoir m'appelle, je suis de garde toute la nuit.
Cher journal, je te dis à demain.